Il y a trente ans, Joël Scuttenaire achète une maison dans le village de Rebecq-Rognon. Dans sa propriété, un jardin avec du gazon. Au fil des années, il va transformer ce jardin classique en un potager géant composé de plantes sauvages. Des « mauvaises herbes » aux vertus diététiques insoupçonnées bien souvent du grand public...
Les mauvaises herbes dans l'assiette
93% des plantes sauvages, ces végétaux qui poussent spontanément, sont comestibles, pas toxiques. Joël Scuttenaire en mange quotidiennement "C'est étonnant les goûts que l'on peut trouver dans les mauvaises herbes. Des goûts d'agrumes, de cresson, des goûts piquants, c'est vraiment très varié au niveaux des saveurs".
Cuisine buissonnière
Chaque premier dimanche du mois, avec les membres de l’ASBL « Un Dimanche à la Campagne », il organise un atelier, à la découverte des plantes sauvages. Une journée pour les reconnaître, les cueillir, en découvrir les vertus et les cuisiner en tant que légumes à part entière.
Thibault van Raemdonck - images: Patrick Lemmens.