Une nouvelle image pour la maison de repos La Closière de Wavre


Plusieurs centaines de personnes ont participé à l'inauguration et aux portes ouvertes de la nouvelle maison de retraite de Wavre, La Closière, ce jeudi. L'équipe du CPAS était très fière de présenter les nouveaux lieux totalement finalisés. Un chantier qui aura duré 7 ans en 2 phases. Les derniers résidents qui logeaient encore dans les bâtiments de l'ancienne clinique du Champ Sainte Anne ont pris leur quartier dans leur nouvelle maison en décembre dernier. On est très loin des maisons de retraite poussiéreuses, fermées sur elles-mêmes : le bâtiment est moderne et lumineux, les espaces communs sont nombreux et conviviaux. Tout est mis en place pour que les résidents se sentent bien chez eux.

Une résidence dirigée vers la ville et le monde extérieur  

Ce jeudi, tous les wavriens étaient invités à visiter La Closière. On est très loin des a priori sur les maisons de retraites. La Closière est conçue avant tout comme un endroit de vie et de rencontres tourné vers la ville et le monde extérieur. "L'idée de départ", nous explique Nathalie Demortier , présidente du CPAS de Wavre, "était de concevoir cette résidence comme un hôtel, avec une petite boutique, un bar. Le résident peut venir boire un verre avec sa famille ou ses amis".

154 personnes peuvent vivre dans cette résidence, en duo ou en chambre individuelle pour un montant journalier d'une moyenne de 50 euros selon les chambres. Contrairement à une maison de repos privée, ici, les services proposés ne sont pas axés sur la rentabilité mais sur le meilleur
bien-être possible des résidents tout en maintenant un budget en équilibre. "Nous disposons de personnel dans le domaine des soins, nous avons un quota qui est supérieur à ce que permet la législation. Nous dépassons la norme de 50 pourcents", explique la diretrice de La Closière, Marianne Pauwels.

Pas étonnant donc que la liste d'attente soit longue. Bien que dans la plupart des cas, le maintien à domicile reste le premier choix.  
 
Nathalie Wacquez - Images : Patrick Lemmens



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