Après quinze ans de procédures et deux ans de travaux d'infrastructures, le parc d'activité économique de Tubize II est enfin prêt pour accueillir les entreprises. Un nouveau parc de 67 hectares attendu par beaucoup car ces nouvelles zones économiques se font de plus en plus rares au sein de notre Province.
Une bouffée d'oxygène
Après les tristes scénarios de NLMK Clabecq ou encore Virginal Paper, l’heure est au renouveau du côté de l’ouest du Brabant wallon. Tubize veut redevenir un pôle économique majeur. Et pour cela, le nouveau parc d'activité économique Tubize II arrive à point. Avec ses 67 hectares, ses 5 km de voiries, ses 4 bassins d'orage, ce nouveau zoning désire générer au minimum 1.650 emplois directs. Un lieu attendu par les entrepreneurs, la preuve : 40% des terrains sont déjà réservés.
L’in bw à la tête du chantier a travaillé durant deux ans sur les infrastructures qui accueilleront les futures entreprises et ne s'arrête pas là. "L'in BW accompagnera les nouvelles entreprises dans leurs demandes de permis ou de subsides" explique Christophe Dister, Président du Conseil d'administration d'in BW. Une véritable bouffée d’oxygène en termes d’emplois pour cette commune qui n’a pas été épargnée par les évènements économiques ces dernières années.
Un parc à la pointe
Ce nouveau parc économique a été étudié jusque dans les moindres détails : des égouts jusqu'aux technologies de pointe, ces 67 hectares permettront aux entreprises d'évoluer comme elles le désirent. En effet, le parc est équipé des dernières technologies en matière d'accès internet et réseaux (fibre optique à très haut débit), éclairage public à technologie LED, réseau d'égouttage séparatif ou encore des bassins d'orage et aménagements paysagers qui favorisent la convivalité. Bref, le site a été dessiné pour amener de l'activité et surtout beaucoup d'emplois ! "Emploi, emploi, emploi" nous dit-on haut et fort dans ce nouveau parc. "Les entreprises qui s'y installeront devront répondre à des critères strictes en termes d'emploi et d'occupation du sol", témoigne Christophe Dister. "Nous avons, en effet, placé une clause de 25 emplois à garantir par hectare car nos réserves dédicacés à l'activité économique s'amenuisent à vue d'oeil en Brabant wallon."
Florence Gusbin - Images : Adrien Broze & in BW